Etait-ce la chaleur du jour qui a retenu les castors à l’intérieur de leur hutte, ou l’envie irrépressible d’admirer les feux d’artifices sur le lac qui les a motivé à fuir la zone dans laquelle j’aime aller les observer? On ne le saura jamais (bien que je soupçonne que les castors n’aient pas eu vent des feux d’artifices). Il n’y avait ce soir qu’un castor de sortie, qui s’adonnait à ronger l’écorce d’une branche à moitié émergé dans l’eau. La lumière du soir d’été aidant, cela donne une photo toute en douceur…
Neuchâtel, le 1er août 2013
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